Face aux affirmations erronées, partielles et non factuelles dont est
l’objet notre activité, nous tenons à apporter un éclairage à celles et
ceux qui veulent savoir et comprendre, au-delà des polémiques. Voici les
faits nous concernant, avec les sources associées (publiques et
consultables 24h/24)
La CCIMP soutient cette démarche d’économie circulaire initiée par Alteo depuis de nombreuses années.
Toutes les usines de fabrication d’alumine dans le monde avec le procédé Bayer génèrent des résidus. Le défi environnemental consiste donc à diminuer ces résidus et à les configurer pour de nouveaux usages.
Pour Gardanne, une étape décisive a été franchie le 31 décembre 2015. Celle-ci couronne une période de 20 ans de recherche et d’investissements environnementaux sans précédent. Depuis 2016, les résidus minéraux sont traités avec la meilleure technologie disponible au niveau mondial. Alteo poursuit ses efforts pour améliorer encore la qualité des eaux rejetées en mer.
Alteo cherche à réduire ses impacts sur l’air. Les matériaux, leur manipulation comme leur stockage, l’activité de production génèrent des polluants atmosphériques. Malgré des réductions très importantes de ses émissions de poussières, le voisinage de Gardanne ou de Mange Garri est parfois affecté par des (...)
Depuis le 1er trimestre 2019, une nouvelle station de traitement au dioxyde de carbone (CO2) traite l’eau avant rejet en mer. La technologie de traitement des eaux mise en place depuis 2015 est la meilleure à l’heure actuelle dans le monde de l’alumine. Cependant, pour améliorer encore la qualité (...)
Alteo est la seule usine d’alumine à traiter la totalité des résidus de bauxite à terre. Depuis 2016, les résidus minéraux sont traités avec la meilleure technologie disponible au niveau mondial : les filtres-presses. Cette technologie a été installée pour la première fois dans l’usine de Gardanne dans (...)
On observe une abondance de crustacés à quelques mètres du point de rejet, la présence de poissons, des colonies de coraux sur la canalisation (...)
Non, les résidus de bauxite ne sont ni toxiques ni dangereux. La bauxaline® contient essentiellement de l’oxyde de fer (d’où sa couleur rouge), de (...)
Le choix du traitement de l’effluent au dioxyde de carbone (CO2)
Ce traitement innovant consiste à injecter du dioxyde de carbone dans
l’effluent sur une boucle de recirculation reliée à un bac de
neutralisation. Cette technologie permet de neutraliser la soude et de
précipiter les métaux dissous pour les séparer. Puis un floculant sépare
la matière solide du liquide dans un décanteur. La station de traitement est opérationnelle depuis le 1er trimestre 2019.
De nouvelles actions pour réduire les envolements de poussières
En 2016, Alteo a réalisé de nouveaux travaux afin de réduire les envolements de poussières sur le site de stockage. Du compost est étendu dans les zones qui ne seront plus exploitées afin de permettre la végétalisation. L’étendue des zones en exploitation a été réduite. Des matériaux non générateurs de poussières sont utilisés sur les voies de circulation (cailloutage). A court terme, d’autres solutions vont être mises en œuvre pour limiter les envolements dans d’autres zones. Un programme de surveillance renforcé des poussières inhalable PM2.5 et PM1 est en cours de mise en place
Simple et efficace pour traiter les niveaux élevés de phosphates
L’eau chargée en phosphate est traitée en passant dans un lit filtrant de granules à base de dérivés de résidus de bauxite.
Diverses réactions ioniques et précipitations permettent de capturer les phosphates dans les granules. Cette technologie permet de traiter des niveaux élevés de phosphate via un système simple et efficace.
Les avantages de la Bauxaline® comparés aux solutions alternative.
Le programme de suivi des rejets en mer d’Alteo élargi suite aux échanges avec le CSIRM
Lors de la première réunion du Comité de surveillance et d’information sur les rejets en mer (CSIRM ), le 11 mai 2016, Alteo a présenté son programme de suivi des rejets en mer qui reprend les prescriptions de l’arrêté préfectoral du 28 décembre 2015.
Les échanges entre les différents membres scientifiques sur les objectifs et les protocoles d’études ont permis d’enrichir ce programme. Le programme de suivi en mer s’est déroulé en 2016 et 2017.