Les activités d’Alteo génèrent principalement des poussières de couleur rouge (bauxite, résidus de bauxite) ou blanche (alumine).
La bauxite
Elle contient dans des proportions variables de l’oxyde de fer, de l’oxyde de titane, de l’oxyde d’aluminium ainsi qu’une faible proportion d’autres métaux : chrome, vanadium principalement. Ce sont les oxydes de fer qui lui donnent sa coloration rouge.
Les poussières sont principalement générées par le transport et le stockage. Pour les réduire, des bâches couvrent les camions, les roues sont lavées, les aires de stockage sont arrosées en continu…
Les résidus de bauxite
Ils sont constitués de résidus minéraux fins et de traces de soude.
Le transport de ce matériau humide produit par les filtres-presses, ne génère pas de poussières. Le stockage doit répondre à un protocole précis pour éviter les envolements des résidus lorsqu’ils ont séché et durci. A Mange Garri, un programme de réduction des envolements a été lancé en 2014 : arrosage, végétalisation, optimisation de la gestion du site…
L’alumine
Extraite de la bauxite, elle contient également des traces de soude.
Le stockage du produit est protégé du vent mais des poussières s’échappent des fours de calcination. Pour produire de l’alumine à partir de la bauxite, roche sédimentaire, les fours doivent atteindre des températures très élevées (de l’ordre de 1000 à 1200°C), générant de très fines particules blanches d’alumine.
L’émission des poussières est très variable selon les jours, les types d’alumines et le fonctionnement des fours. Le transport par camions peut également générer des poussières.
Ces émissions font l’objet d’un suivi régulier et doivent répondre à des normes qui évoluent au fil des années. Depuis les années 1990, les différents aménagements des installations et du procédé ont permis de diviser par 14 les émissions de poussières mesurées Boulevard Carnot à Gardanne.
Les rejets dans l’atmosphère sont liés à la combustion d’énergie fossile (CO2) et aux émissions produites par cette combustion (NOx). Les émissions de dioxyde de soufre (SO2) ont été entièrement supprimées grâce à un changement de combustible.
L’énergie consommée à Gardanne se répartit principalement entre 2 ateliers :
Alteo suit toutes les pistes qui permettent de diminuer ces rejets, en s’attaquant principalement à leur source : sortie des fours et étanchéité, séchage, calcination.
La recherche appliquée en matière de diminution des consommations énergétiques fait également partie des préoccupations majeures d’Alteo. Dans ce sens, le rendement des brûleurs dans les fours est amélioré, d’où une moindre consommation d’énergie (CO2) et une diminution des rejets (NOx).
Les activités d’Alteo génèrent principalement des poussières de couleur rouge (bauxite, résidus de bauxite) ou blanche (alumine).
La bauxite
Elle contient dans des proportions variables de l’oxyde de fer, de l’oxyde de titane, de l’oxyde d’aluminium ainsi qu’une faible proportion d’autres métaux : chrome, vanadium principalement. Ce sont les oxydes de fer qui lui donnent sa coloration rouge.
Les poussières sont principalement générées par le transport et le stockage. Pour les réduire, des bâches couvrent les camions, les roues sont lavées, les aires de stockage sont arrosées en continu…
Les résidus de bauxite
Ils sont constitués de résidus minéraux fins et de traces de soude.
Le transport de ce matériau humide produit par les filtres-presses, ne génère pas de poussières. Le stockage doit répondre à un protocole précis pour éviter les envolements des résidus lorsqu’ils ont séché et durci. A Mange Garri, un programme de réduction des envolements a été lancé en 2014 : arrosage, végétalisation, optimisation de la gestion du site…
L’alumine
Extraite de la bauxite, elle contient également des traces de soude.
Le stockage du produit est protégé du vent mais des poussières s’échappent des fours de calcination. Pour produire de l’alumine à partir de la bauxite, roche sédimentaire, les fours doivent atteindre des températures très élevées (de l’ordre de 1000 à 1200°C), générant de très fines particules blanches d’alumine.
L’émission des poussières est très variable selon les jours, les types d’alumines et le fonctionnement des fours. Le transport par camions peut également générer des poussières.
Ces émissions font l’objet d’un suivi régulier et doivent répondre à des normes qui évoluent au fil des années. Depuis les années 1990, les différents aménagements des installations et du procédé ont permis de diviser par 14 les émissions de poussières mesurées Boulevard Carnot à Gardanne.
Les rejets dans l’atmosphère sont liés à la combustion d’énergie fossile (CO2) et aux émissions produites par cette combustion (NOx). Les émissions de dioxyde de soufre (SO2) ont été entièrement supprimées grâce à un changement de combustible.
L’énergie consommée à Gardanne se répartit principalement entre 2 ateliers :
Alteo suit toutes les pistes qui permettent de diminuer ces rejets, en s’attaquant principalement à leur source : sortie des fours et étanchéité, séchage, calcination.
La recherche appliquée en matière de diminution des consommations énergétiques fait également partie des préoccupations majeures d’Alteo. Dans ce sens, le rendement des brûleurs dans les fours est amélioré, d’où une moindre consommation d’énergie (CO2) et une diminution des rejets (NOx).