Face aux affirmations ‎ erronées, partielles et non factuelles dont est l’objet notre activité, nous tenons à apporter un éclairage à celles et ceux qui veulent savoir et comprendre, au-delà des polémiques. Voici les faits nous concernant, avec les sources associées (publiques et consultables 24h/24)

NON

Alteo ne rejette plus de boues rouges en mer depuis fin 2015.

OUI

Grâce aux technologies de pointe mises en œuvre, les eaux résiduelles sont 100% conformes à la réglementation.

NON

Les rejets en mer ne sont pas toxiques et ne présentent pas de risque sanitaire.

Et la qualité de ces eaux continue de s’améliorer de manière constante.

OUI

le rejet d’eau est conforme aux normes les plus contraignantes.

NON

les résidus solides de bauxite ne sont ni dangereux ni toxiques.

Ils ne présentent pas non plus de risque de radioactivité.

 C’est démontré par l’Ineris   et l’IRSN  

OUI

Alteo a été l’une des 1ères alumineries au monde à stocker les résidus sous forme solide, les rendant ainsi 100% recyclables.

NON

il n’y a pas d’envol de poussières issues de Mange Garri au moindre coup de vent.

Végétalisation, encroûtage, compostage, arrosage et surveillance réduisent les envolements.

OUI

l’empoussièrement autour de Mange Garri est comparable à ce qui est mesuré ailleurs en région PACA.

C’est AtmoSud qui le constate.

NON

la réutilisation des résidus n’est pas un transfert de pollution, au contraire.

Non seulement la réutilisation des résidus de bauxite n’entraîne pas de pollution mais elle apporte un réel bénéfice environnemental.

OUI

les résidus de bauxite sont un matériau valorisable, particulièrement efficace pour la dépollution des eaux et des sols notamment.

La CCIMP   soutient cette démarche d’économie circulaire initiée par Alteo depuis de nombreuses années.

Politique environnementale

Toutes les usines de fabrication d’alumine dans le monde avec le procédé Bayer génèrent des résidus. Le défi environnemental consiste donc à diminuer ces résidus et à les configurer pour de nouveaux usages.
Pour Gardanne, une étape décisive a été franchie le 31 décembre 2015. Celle-ci couronne une période de 20 ans de recherche et d’investissements environnementaux sans précédent. Depuis 2016, les résidus minéraux sont traités avec la meilleure technologie disponible au niveau mondial. Alteo poursuit ses efforts pour améliorer encore la qualité des eaux rejetées en mer.

Qualité de l’air

Alteo cherche à réduire ses impacts sur l’air. Les matériaux, leur manipulation comme leur stockage, l’activité de production génèrent des polluants atmosphériques. Malgré des réductions très importantes de ses émissions de poussières, le voisinage de Gardanne ou de Mange Garri est parfois affecté par des (...)

Traitement de l’eau

Depuis le 1er trimestre 2019, une nouvelle station de traitement au dioxyde de carbone (CO2) traite l’eau avant rejet en mer. La technologie de traitement des eaux mise en place depuis 2015 est la meilleure à l’heure actuelle dans le monde de l’alumine. Cependant, pour améliorer encore la qualité (...)

Traitement des résidus à terre

Alteo est la seule usine d’alumine à traiter la totalité des résidus de bauxite à terre. Depuis 2016, les résidus minéraux sont traités avec la meilleure technologie disponible au niveau mondial : les filtres-presses. Cette technologie a été installée pour la première fois dans l’usine de Gardanne dans (...)

Y a-t-il de la vie dans la zone d’influence du rejet ?

On observe une abondance de crustacés à quelques mètres du point de rejet, la présence de poissons, des colonies de coraux sur la canalisation (...)


Est-ce que la Bauxaline® est un déchet toxique ?

Non, les résidus de bauxite ne sont ni toxiques ni dangereux. La bauxaline® contient essentiellement de l’oxyde de fer (d’où sa couleur rouge), de (...)




Enjeux environnementaux

Traitement des eaux




Amélioration de la qualité

Quelle évolution du milieu marin après 2015 ?

L’arrêt définitif du rejet de boues rouges le 31 décembre 2015 laisse envisager une recolonisation progressive des zones impactées d’où la nécessité de poursuivre les observations en mer au-delà de l’arrêt des rejets solides à la fin de 2015.

En coordination avec le CSIRM  , une vaste campagne de suivi en mer s’est déroulée en 2016 et 2017.

Air




Réduction des poussières

Une nouvelle étape pour réduire les NOx (Oxyde d’azote)

L’usine de Gardanne mène une démarche permanente d’amélioration.

Le procédé sur le four 4 a été optimisé en 2015. Les ingénieurs d’Alteo ont réussi à réduire les émissions de NOx de 1000 mg/Nm3 à 600 mg/Nm3. Cette étape permet d’envisager avec confiance l’atteinte de l’objectif fixé à 500 mg/Nm3 à 14% d’oxygène, en adoptant une technologie de tuyères bas-NOx

Bauxaline®




Nouvelles technologies du bâtiment

Géopolymères, issus de la science des matériaux

Les géopolymères sont des mélanges minéraux qui ont la particularité de faire prise à température ambiante : de courtes chaînes moléculaires "polymérisent" pour former de longues chaînes, ce qui entraîne la prise du matériau.

Dialogue avec
les acteurs




Actions collaboratives

Le programme de suivi des rejets en mer d’Alteo élargi suite aux échanges avec le CSIRM

Lors de la première réunion du Comité de surveillance et d’information sur les rejets en mer (CSIRM  ), le 11 mai 2016, Alteo a présenté son programme de suivi des rejets en mer qui reprend les prescriptions de l’arrêté préfectoral du 28 décembre 2015.

Les échanges entre les différents membres scientifiques sur les objectifs et les protocoles d’études ont permis d’enrichir ce programme. Le programme de suivi en mer s’est déroulé en 2016 et 2017.


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