Alteo cherche à réduire ses impacts sur l’air. Les matériaux, leur manipulation comme leur stockage, l’activité de production génèrent des polluants atmosphériques. Malgré des réductions très importantes de ses émissions de poussières, le voisinage de Gardanne ou de Mange Garri est parfois affecté par des envolements lors d’incidents ponctuels ou d’épisodes venteux. Alteo fait évoluer régulièrement ses procédures pour tenter de les éviter ou minorer leur impact. C’est une lutte constante.
L’évolution des technologies et le choix des combustibles permettent de réduire les émissions de polluants atmosphériques dont les seuils réglementaires baissent régulièrement.
Depuis le 1er trimestre 2019, une nouvelle station de traitement au dioxyde de carbone (CO2) traite l’eau avant rejet en mer. La technologie de traitement des eaux mise en place depuis 2015 est la meilleure à l’heure actuelle dans le monde de l’alumine. Cependant, pour améliorer encore la qualité du rejet sur certains paramètres, Alteo s’est engagé dans une démarche de recherche collaborative. Toutes les équipes se sont mobilisées pour inventer une technologie qui n’existait pas en 2015.
Après plusieurs tests en conditions réelles, c’est le procédé de traitement de l’eau par injection de dioxyde de carbone (CO2) qui a fait ses preuves.
Alteo est la seule usine d’alumine à traiter la totalité des résidus de bauxite à terre. Depuis 2016, les résidus minéraux sont traités avec la meilleure technologie disponible au niveau mondial : les filtres-presses. Cette technologie a été installée pour la première fois dans l’usine de Gardanne dans les années 2000. Elle a permis à Alteo de respecter ses engagements de réduction des rejets en mer, conformément à la Convention de Barcelone.
Alteo a ensuite reconfiguré totalement son procédé de fabrication en construisant 2 filtres-presses supplémentaires et une station de traitement des eaux afin de cesser les rejets de résidus de bauxite en mer le 31 décembre 2015.
Alteo cherche à réduire ses impacts sur l’air. Les matériaux, leur manipulation comme leur stockage, l’activité de production génèrent des polluants atmosphériques. Malgré des réductions très importantes de ses émissions de poussières, le voisinage de Gardanne ou de Mange Garri est parfois affecté par des envolements lors d’incidents ponctuels ou d’épisodes venteux. Alteo fait évoluer régulièrement ses procédures pour tenter de les éviter ou minorer leur impact. C’est une lutte constante.
L’évolution des technologies et le choix des combustibles permettent de réduire les émissions de polluants atmosphériques dont les seuils réglementaires baissent régulièrement.
Depuis le 1er trimestre 2019, une nouvelle station de traitement au dioxyde de carbone (CO2) traite l’eau avant rejet en mer. La technologie de traitement des eaux mise en place depuis 2015 est la meilleure à l’heure actuelle dans le monde de l’alumine. Cependant, pour améliorer encore la qualité du rejet sur certains paramètres, Alteo s’est engagé dans une démarche de recherche collaborative. Toutes les équipes se sont mobilisées pour inventer une technologie qui n’existait pas en 2015.
Après plusieurs tests en conditions réelles, c’est le procédé de traitement de l’eau par injection de dioxyde de carbone (CO2) qui a fait ses preuves.
Alteo est la seule usine d’alumine à traiter la totalité des résidus de bauxite à terre. Depuis 2016, les résidus minéraux sont traités avec la meilleure technologie disponible au niveau mondial : les filtres-presses. Cette technologie a été installée pour la première fois dans l’usine de Gardanne dans les années 2000. Elle a permis à Alteo de respecter ses engagements de réduction des rejets en mer, conformément à la Convention de Barcelone.
Alteo a ensuite reconfiguré totalement son procédé de fabrication en construisant 2 filtres-presses supplémentaires et une station de traitement des eaux afin de cesser les rejets de résidus de bauxite en mer le 31 décembre 2015.