L’arrêt définitif du rejet de boues rouges le 31 décembre 2015 laisse envisager une recolonisation progressive des zones impactées d’où la nécessité de poursuivre les observations en mer au-delà de l’arrêt des rejets solides à la fin de 2015.
En coordination avec le CSIRM , une vaste campagne de suivi en mer s’est déroulée en 2016 et 2017.
Les eaux sont analysées avant rejet en mer par Alteo et 2 laboratoires indépendants.
Les analyses sont envoyées tous les mois aux services de l’Etat afin d’être publiées sur le site du ministère (IREP).
Ce traitement innovant consiste à injecter du dioxyde de carbone dans
l’effluent sur une boucle de recirculation reliée à un bac de
neutralisation. Cette technologie permet de neutraliser la soude et de
précipiter les métaux dissous pour les séparer. Puis un floculant sépare
la matière solide du liquide dans un décanteur. La station de traitement est opérationnelle depuis le 1er trimestre 2019.
La station de traitement des eaux mise en service au 1er semestre 2019 met en oeuvre un procédé unique au monde dans le secteur de l’alumine. Il consiste à injecter du dioxyde de carbone dans l’effluent sur une boucle de recirculation reliée à un bac de neutralisation. Cette technologie permet de neutraliser la soude et de précipiter les métaux dissous pour les séparer. 6 000 tonnes de CO2 environ par an seront captés et ne seront pas émis dans l’atmosphère.
L’arrêt définitif du rejet de boues rouges le 31 décembre 2015 laisse envisager une recolonisation progressive des zones impactées d’où la nécessité de poursuivre les observations en mer au-delà de l’arrêt des rejets solides à la fin de 2015.
En coordination avec le CSIRM , une vaste campagne de suivi en mer s’est déroulée en 2016 et 2017.
Les eaux sont analysées avant rejet en mer par Alteo et 2 laboratoires indépendants.
Les analyses sont envoyées tous les mois aux services de l’Etat afin d’être publiées sur le site du ministère (IREP).
Ce traitement innovant consiste à injecter du dioxyde de carbone dans
l’effluent sur une boucle de recirculation reliée à un bac de
neutralisation. Cette technologie permet de neutraliser la soude et de
précipiter les métaux dissous pour les séparer. Puis un floculant sépare
la matière solide du liquide dans un décanteur. La station de traitement est opérationnelle depuis le 1er trimestre 2019.
La station de traitement des eaux mise en service au 1er semestre 2019 met en oeuvre un procédé unique au monde dans le secteur de l’alumine. Il consiste à injecter du dioxyde de carbone dans l’effluent sur une boucle de recirculation reliée à un bac de neutralisation. Cette technologie permet de neutraliser la soude et de précipiter les métaux dissous pour les séparer. 6 000 tonnes de CO2 environ par an seront captés et ne seront pas émis dans l’atmosphère.