Les études scientifiques extrêmement poussées menées pendant 4 ans sur ce rejet, alimentées par les nombreux suivis réalisés depuis plus de 20 ans, concluent toutes à une absence d’effet notable sur le milieu.
Lors des études sur l’impact du rejet, les scientifiques ont systématiquement retenu les hypothèses les plus pénalisantes : conditions météo les plus extrêmes, tests laboratoires les plus sensibles.