Enjeux environnementaux

Traitement des eaux



Amélioration de la qualité

Une eau très contrôlée

Les eaux sont analysées avant rejet en mer par Alteo et 2 laboratoires indépendants.

  • le laboratoire interne d’Alteo effectue des relevés 3 fois par jour
  • un laboratoire accrédité par l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse (accrédité Cofrac)
  • un laboratoire mandaté par la DREAL, qui effectue des relevés inopinés (accrédité Cofrac)

Les analyses sont envoyées tous les mois aux services de l’Etat afin d’être publiées sur le site du ministère (IREP).

Air



Surveillance qualité air

4 expertises confirment que l’impact radiologique lié aux poussières en provenance du site de Mange-Garri est faible

L’impact radiologique est recherché dans les poussières en suspension et dans le stockage des résidus. Les deux expertises de l’IRSN   relatives aux émissions de poussières du centre de stockage de Mange Garri, en 2015 et 2016 sont arrivées aux mêmes conclusions : l’impact radiologique sur les riverains du site de stockage est faible. Les valeurs sont largement inférieures (12 %) à la limite de 1 mSv/an fixée par le Code de la santé publique pour l’exposition de la population aux rayonnements ionisants due à des activités nucléaires.

Bauxaline®



Déphostatation des effluents

Simple et efficace pour traiter les niveaux élevés de phosphates

L’eau chargée en phosphate est traitée en passant dans un lit filtrant de granules à base de dérivés de résidus de bauxite.

Diverses réactions ioniques et précipitations permettent de capturer les phosphates dans les granules. Cette technologie permet de traiter des niveaux élevés de phosphate via un système simple et efficace.

Les avantages de la Bauxaline® comparés aux solutions alternative.

Dialogue avec
les acteurs



Actions collaboratives

Le programme de suivi des rejets en mer d’Alteo élargi suite aux échanges avec le CSIRM

Lors de la première réunion du Comité de surveillance et d’information sur les rejets en mer (CSIRM  ), le 11 mai 2016, Alteo a présenté son programme de suivi des rejets en mer qui reprend les prescriptions de l’arrêté préfectoral du 28 décembre 2015.

Les échanges entre les différents membres scientifiques sur les objectifs et les protocoles d’études ont permis d’enrichir ce programme. Le programme de suivi en mer s’est déroulé en 2016 et 2017.